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Santé reproductive et droits sexuels : L’ONG PAFED renforce les capacités des clubs scolaires

Des sessions de renforcement de capacités sur la Santé reproductive et droits sexuels (SRDS), le genre transformateur, les violences basées sur le genre (VBG) et la nutrition se sont tenues, les 12 et 13 avril dans quatre établissements scolaires des préfectures de Tchaoudjo et Tchamba. Ces formations ont été organisées par l’ONG Programme d’appui à la femme et à l’enfance déshéritée (PAFED), avec l’appui financier de la GIZ, à travers son « Projet de renforcement du système sanitaire, Santé reproductive et droits sexuels (ProSanté) ». Elles ont regroupé 115 élèves, membres de 4 clubs scolaires du CEG Yara-Kabyè et des lycées Tchalo et Kparatao (Tchaoudjo) et du GEG Kouloumi (Tchamba). Ces sessions ont permis de renforcer les connaissances des élèves sur les quatre thématiques précitées. La finalité est de contribuer à garantir la santé reproductive et droits sexuels des apprenants. Ceci, à travers la promotion des comportements saints et l’utilisation des services SRDS disponibles dans les quatre nouvelles Unités de soins périphériques (USP) appuyées par ProSanté dans les deux préfectures. Il s’agit des USP de Yara-Kabyè, de Tchalo, de Kparatao et celle de Kouloumi. Les participants ont été outillés pour communiquer efficacement pour le changement de comportement des élèves en matière de prévention des grossesses précoces, des VBG, de promotion de l’égalité des sexes, de la masculinité positive. Ils ont été également sensibilisés sur les conséquences des grossesses précoces, le harcèlement sexuel en milieu scolaire et tout autre type de VBG exercée sur les adolescent-e-s et jeunes. Les apprenants ont aussi été éclairés sur l’importance de la scolarisation de la fille et d’une alimentation saine et équilibrée à base des produits locaux. La directrice exécutive de l’ONG PAFED, Gnofam Mayi a souligné que les VBG, les grossesses précoces en milieu scolaire, les rapports sexuels non protégés, le VIH-Sida et la non utilisation des services de la SRDS, entre autres, exposent les jeunes aux conséquences pouvant hypothéquer leur avenir. Elle a signifié que ces sessions ont été organisées pour un changement de comportement chez les élèves. Le directeur régional de la Santé Centrale, Dr N’Djao Akawulu a exhorté les clubs scolaires à travailler pour diminuer le taux élevé des grossesses en milieu scolaire, faire respecter le choix des filles tout en sensibilisant les parents à proscrire les mariages précoces et les mutilations génitales féminines. « Nous remercions l’ONG PAFED et la GIZ-ProSanté. Avec cette formation nous devenons des leaders dans notre établissement, des lumières qui devront éclairer les autres pour utiliser les services de SRDS, éviter les grossesses précoces, le VIH-Sida et pour appliquer aussi la masculinité positive, c’est-à-dire, des garçons mais qui soutiennent le combat des filles et agissent pour le respect de leurs droits », a confié l’encadreur du club scolaire du lycée Tchalo, Tossou Gaston. Ces sessions sont également prévues à Sotouboua, Blitta et Djarkpanga (Mô). Au total, 275 élèves de 10 clubs scolaires seront formés dans la région Centrale.

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Les leaders communautaires entretenus sur les violences et les mécanismes de signalement des cas d’abus

Le 8 mars 2025, une rencontre s’est tenu au vestibule du chef du village, permettant aux participants de mieux comprendre ce que constitue la violence envers les enfants, avec un focus particulier sur les violences basées sur le genre (VBG). Cette rencontre a été l’occasion de faire un lien direct avec la Journée Internationale des Femmes (JIF) 2025, dont le thème mondial est : « Pour toutes les femmes et les filles : droits, égalité et autonomisation », et, au niveau national, « L’accès des femmes aux documents d’identité pour une meilleure participation au développement ». Il a été mis en évidence que se sont principalement les normes de genre qui limitent l’accès des femmes à ces documents essentiels. Au cours de l’atelier, plusieurs documents fondamentaux ont été présentés, en détaillant leur utilité ainsi que les démarches nécessaires pour les obtenir. Pour conclure, les participants, en particulier les hommes, ont été invités à promouvoir une masculinité positive au sein de leur entourage. Quant aux femmes, elles ont été encouragées à développer leur leadership afin de contribuer à la création d’un monde plus juste, égalitaire et respectueux des droits humains. L’événement s’est terminé par un rappel des différents mécanismes de signalisation disponibles pour dénoncer les diverses formes d’abus

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PAFED renforce les capacités des femmes membres des COCFEM de Tchaoudjo 1, Tchamba 1 et Blitta 1 sur la rédaction des documents administratifs, l’analyse du budget, la décentralisation

Les membres des Conseils Communaux de Femmes (COCFEM) des communes de Tchaoudjo 1, Tchamba 1 et Blitta 1 ont été renforcés du 1er au 6 Décembre 2023 sur la rédaction des documents administratifs, l’analyse du budget, la décentralisation. Elles sont au total 30 femmes membres des COCFEM à avoir bénéficié de cette formation. Les participantes ont été outillées sur les objectifs, l’historique et les principes généraux de la décentralisation au Togo, l’analyse du budget et les principes de la rédaction administrative. A la fin de la formation, les classeurs contenant les modules de formations et quelques modèles d’actes et de documents administratifs ont été remis aux participantes. A l’ouverture de la formation à Sokodé, Monsieur OURO-AGBANDAO Tchabouè, Directeur Régional de l’Action Sociale a adressé ses sentiments de gratitude à l’ONG PAFED, partenaire de mise en œuvre du projet. Il a également remercié la Coordination des Organisations Féminines au Togo (COFET) pour « son accompagnement et son soutien indéfectible s’agissant de la promotion de la participation de la femme au développement et de la promotion de ses droits ». Il a également remercié tous les partenaires techniques et financiers qui accompagnent les efforts du gouvernement dans l’optique de l’atteinte des Objectifs de Développement Durable en général et ceux liés à l’émancipation de la femme, son autonomisation, sa participation à la vie politique et à la gestion de la chose publique en particulier. M. YERIMA Agregna, 1er Adjoint au Maire, représentant le Maire de Tchaoudjo 1, dans son mot d’ouverture de la formation, a reconnu la faible présence des femmes dans les Conseils Municipaux dans la Région Centrale. Pour M. YERIMA Agregna, la participation des femmes dans les prises de décisions est un défi à relever. A cet effet, il leur a exhorté à commencer dès maintenant à se préparer pour les élections législatives et régionales à venir.  Notons que cette activité s’inscrit dans le cadre de la mise en œuvre du projet « Parlement régional des femmes de la Centrale du Togo », financé par COFET grâce au Fonds de Solidarité pour les Projets Innovants (FSPI Genre) de l’Ambassade de France au Togo. Chargé de suivi Nouhoum TCHATCHEDRE

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Projet : « Renforcement de la Société Civile pour la Lutte contre les Violences de Genre au Togo ». Les membres du club du Lycée Tchamba et de l’Organisation des Filles de Larini sensibilisé sur l’importance de la JIF

Ils étaient 26 participants membres du club la Joie du Lycée Tchamba et de l’OF du canton de Larini à répondre à cette invitation dans le cadre des préparatifs de la Journée international de la Fille placé sous le thème national de « Promouvoir l’excellence chez les filles, dans les filières porteuses, c’est développer leur résilience face aux défis dans un monde en constante évolution ». Tenue ce 11 Octobre 2023 au Lycée Tchamba, les membres de club dudit Lycée ont été sensibilisé sur l’importance de cette journée qui vise à faire valoir les droits des filles et à trouver des solutions solution aux défis auxquels elles sont confrontées. Par ailleurs la rencontre a été une aubaine pour répéter une prestation scénique en présence de CP Plan International Togo. Soulignons que PAFED et EJFD ont été identifié par la DPAS pour accompagner dans l’organisation de cet évènement qui va rassembler les certains acteurs des 5 préfectures de la région Centrale et dont l’apothéose aura lieu au CLAC Tchamba ce vendredi 13 Octobre 2023. ALI ADAMOU M. Awal, facilitateur de zone.

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Le canton de Kadambara priorise ses actions communautaires en faveur de la promotion des droits des filles et les plus vulnérables pour une égalité de genre progressive

L’ONG-PAFED, dans la mise en œuvre des activités du projet Renforcement de la Sociétécivile pour la lutte contre les violences de genre au Togo financé par l’Agence Suédoise pourle Développement International (ASDI) à travers Plan suède et Plan international Togo aappuyé le comité cantonal de Développement du canton de Kadambara a réalisé un planopérationnel annuel.La rencontre a eu lieu le 19 / 09 / 2023 et a connu la participation de 24 leaders dont 08femmes. Cette rencontre s’inscrit dans le cadre du renforcement des réunionscommunautaires sur la déconstruction des normes et pratiques préjudiciables à la jouissancedes droits sexuels chez les enfants et jeunes surtout des filles du canton de Kadamabara.Le renforcement a permis aux leaders de reconsidérer le problème d’inégalité sexiste et deplanifier les actions phares qui vont contribuer à lutter davantage contre les abus sexistesdont sont majoritairement victimes les filles du canton comme le mariage d’enfant et autres. L’appui du projet au renforcement de ladite réunion communautaire en présence de lachefferie, CIPLEV et d’un élu local de la commune de Tchaoudjo 1 a été d’un grand atoutpour définir la participation du canton au processus du plaidoyer en faveur de la protectiondes enfants et jeunes auprès de la commune de Tchaoudjo 1.La présidente du Comité de Gestion de Projet de Plan (COGEP) de ce canton a exprimé sasatisfaction par rapport à la participation de l’ONG-PAFED et solliciter d’avantage leuraccompagnement en matière d’élimination des pratiques qui freinent la réussite des fillessurtout. La facilitatrice de zoneSIBABI-AKPO K. Djalissatou

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Les enfants / jeunes filles et garçons regroupés en camps des vacances à Sokodé adoptent des comportements sexuels responsables et jouissent de leurs droits à la santé sexuelle et reproductive

Ce 09/09/2023, l’ONG-PAFED a été sollicitée dans le cadre de la mise en œuvre du Projet Renforcement de la société civile pour la lutte contre les violences de genre au Togo, financé par l’Agence Suédoise pour le Développement International (ASDI) à travers Plan Suède et Plan international Togo afin d’apporter des informations nécessaires à la jouissance des droits à la santé sexuelle et reproductive d’un groupe d’enfants et jeunes filles/garçons organisés au sortir d’un camp de colonie des vacances à Sokodé initié par l’association International Fellowship (IYF). Ils sont au total 25 dont 10 filles à bénéficier de leur renforcement des capacités au cours de cette formation sur la santé sexuelle et reproductive (SSR) et les voies de signalisation des violences à caractère sexuel. En outre, ce fut un lieu de partage et d’échange sur la loi interdisant les violences à caractère sexuel contre les apprenants. La rencontre permettra de cultiver d’avantage en ses jeunes bénéficiaires, l’adoption des comportements responsables en faveur de leurs droits à la SSR afin de garantir leur propre protection contre les éventuelles violences sexuelles susceptibles de nuire leur avenir et compromettre leur plein épanouissement en tant qu’enfants et jeunes qu’ils sont. Comme l’a soulignée une fille participante âgée de 16 ans en classe de 1ère D, en ses termes : je suis très contente de savoir aussi que l’Etat a adopté une loi qui protège les élèves contre les violences à caractère sexuel et surtout les voies de recours en cas d’abus sur soi ou dont je suis témoin m’a beaucoup réconforté.  Je vais en faire tâche d’huile auprès de mes amies pour limiter nos harcèlements. Je souhaite que ce genre de formation se passe aussi dès le début du camp comme à la fin.     La facilitatrice de zone   SIBABI-AKPO K. Djalissatou

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Les artisans, Maîtres d’ateliers  renforcent leur réunion d’encadrement des apprentis du canton de Kadambara sur la prise en compte de la loi N° 2022-020 portant protection des apprenants contre les violences à caractère sexuel au Togo

Intervention d’un participant Ils sont 25 dont 20 femmes, tous des responsables des centres d’apprentissage à prendre part à une rencontre de partage et d’information sur les violences à caractère sexuel, organisée le 25 Juillet 2023 dans la cour du responsable cantonal de la chambre de métier à Kadambara. L’éradication des différentes sortes d’abus sexuels au sein du milieu de formation des jeunes apprentis surtout à l’égard des filles constitue l’objectif de cette initiative en vue de contribuer à favoriser un environnement sécurisant tout au long de la période d’apprentissage des enfants et jeunes.   La communication a porté sur l’adoption de la loi interdisant les violences à caractère sexuel sur les apprenants et a permis d’interagir avec les patrons et patronnes sur les conduites à tenir pour préserver la dignité de leurs apprentis mais aussi de respecter en général, leurs droits à la santé sexuelle et reproductive. Ce fut une occasion, pour rappeler à l’assistance, les mécanismes de dénonciation et d’insister sur l’importance de la non gestion des cas d’abus sexuel à l’amiable. Un patron ému par les discussions, a affirmé en ces termes : « j’ai une fille apprentie qui était tombée enceinte, et lorsque le cas a été signalé auprès des leaders communautaires, un engagement a été pris mais n’a pas connu de succès car la communauté ne pouvait exercer aucune force sur l’auteur de grossesse. La fille a finalement abandonné, mais lorsque, une autre apprentie était tombée enceinte l’année suivante, j’ai tout suite pris la convocation pour l’auteur, la fille en question a été bien entretenue et suivie et elle a fini son apprentissage. Je salue vivement l’adoption de cette loi et nous allons aussi divulguer l’information à notre tour». Cette activité organisée par l’ONG PAFED en partenariat avec Plan International Togo s’inscrit dans le cadre de la mise en œuvre du projet « Renforcement de la Société Civile pour la lutte contre les violences de genre au Togo », financé par Plan Suède à travers l’Agence Suédoise pour le Développement International (ASDI).

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PAFED participe à la rencontre de présentation du rapport du projet: Les Femmes, L’Entreprise et le Droit de la Banque mondiale.

Le Mercredi 24 Mai 2023, la Directrice Exécutive de l’ONG PAFED a pris part dans les locaux de la Banque mondiale à Lomé, à la présentation du rapport du projet: Les Femmes, L’Entreprise et le Droit de la Banque mondiale. Ce rapport annuel mesure les lois qui affectent les opportunités économiques des femmes dans 190 économies. Le projet présente huit indicateurs structurés autour des interactions des femmes avec la loi au cours de leur vie et de leur carrière : Mobilité, Travail, Rémunération, Mariage, Parentalité, Entrepreneuriat, Actifs et Retraite. Notons que la dernière édition de cette étude, Les Femmes, l’Entreprise et le Droit 2023, a été publiée le 2 mars 2023 et PAFED a contribué dans la collecte des données pour l’élaboration dudit rapport. PAFED à également contribuer à vérifier la collecte des données pour le rapport de 2024

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Les leaders communautaires, les parents et les jeunes de Kpangalam Macqua à Sokodé discutent autour du mariage précoce et de la sexualité

Le 05 Mai 2023, une rencontre de discussions intergénérationnelles entre jeunes, parents et leaders communautaires a été organisée à Kpangalam Macqua dans le canton de Kpangalam. Cette causerie a touché 97 participants dont 13 filles, 5garçons et 30 femmes. Cette activité avait pour objectif de discuter entre leaders communautaires, parents et jeunes pour relever les normes sociales et croyances qui font obstacle à la jouissance des droits sexuels et reproductifs des enfants et jeunes. La discussion a permis aux participants de déconstruire la norme selon laquelle « On ne doit pas parler de la sexualité devant les enfants car on risque de les pousser à la pratique de l’acte sexuelle ». Il ressort que ce tabou fait autour de l’éducation à la santé sexuelle et reproductive expose d’avantage les adolescentes aux grossesses précoces suivi des avortements clandestins. La sous information sur les droits à la SSR et la mauvaise communication entre les parents et enfants sont à l’origine des problèmes que rencontrent les adolescentes et adolescents dans nos communautés. On éduque la fille à se soumettre et au garçon à montrer sa virilité. Au cours de ces discussions, les participants ont reconnu la fuite de responsabilité de certains parents, la non considération de l’éducation et la formation des filles et l’absence de dialogue au sein des ménages comme étant à l’origine des problèmes auxquels nous débattons. A cette réunion, des arguments ont été développés autant par les jeunes que par les adultes pour justifier les problèmes tels que les grossesses précoces, l’abandon scolaire des jeunes filles, l’activité sexuelle précoce des jeunes etc. Des décisions ont été prises par les jeunes et leurs parents pour réduire les cas de grossesses précoces des filles et les cas de mariage d’enfants à travers l’implication des garçons dans les travaux domestiques, l’encouragement et la motivation des filles dans leurs scolarités et formations en maintenant un cadre de dialogue au sein des ménages. Il est prévu de sensibiliser également les filles sur l’apprentissage des métiers dits d’hommes (Plomberie, électricité…), sur l’estime de soi, la communication autour du bien-fondé de la gestion de l’hygiène menstruelle et de la sexualité en générale (pratique de l’abstinence, des méthodes contraceptives) et enfin la dénonciation des auteurs d’abus sexuels grâce aux relations transactionnelles. Comme le témoigne un Leaders communautaire « l’intervention de la jeune fille par rapport à la santé sexuelle m’a vraiment ému. Grâce à cette rencontre j’ai eu beaucoup de connaissances. Elle nous a appris beaucoup de choses sur la santé sexuelle et sur le comportement des enfants à l’adolescence, comment nous adulte nous devons nous comporter envers eux pour les aider à traverser cette période. Nous n’avons pas eu cette chance de discuter avec nos parents de part le passé, ce qui fait qu’aujourd’hui lorsque les ONG parlent de la santé sexuelle avec les jeunes, on pense que ce sont des programmes pour détruire l’avenir des enfants. Notre fille a raison d’insister sur la responsabilité de nous les parents. Il nous revient de faire des efforts pour avoir les yeux sur nos enfants et instaurer les discussions entre les parents et leurs enfants. Discuter avec les enfants ne diminue en rien notre grandeur mais nous permet d’être à l’écoute de nos enfants et connaître leurs besoins … En effet nous avons négligé l’éducation de nos enfants et parfois se sont nos femmes qui s’en occupent, or l’éducation des enfants doit se faire à deux. Dès à présent, je suis conscient des problèmes que traversent les jeunes et je suis outillé sur ce que je dois faire pour les aider. Même s’il le faut, je vais orienter mes enfants au niveau des centres de santé sur afin qu’ils soient éclairés sur la santé sexuelle et comment s’y prendre pour ne pas avoir une grossesse non désirée et réussir bien à l’école »

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Les écoles et centres d’apprentissages appliquant les méthodes alternatives aux violences primées

Le lycée Bamabodolo de Sokodé a abrité ce mardi 16 Mai 2023, la célébration des meilleures établissements scolaires et ateliers d’apprentissages appliquant les méthodes alternatives à la violence dans la préfecture de Tchaoudjo. Cette célébration est une initiative de l’ONG PAFED en partenariat avec Plan International Togo et s’inscrit dans le cadre de la mise en œuvre du projet « Renforcement de la Société Civile pour la lutte contre les violences de genre au Togo », financé par Plan Suède à travers ASDI. En effet, proscrire toutes les formes de violences dans les milieux scolaires et dans les ateliers d’apprentissages est un défi pour l’atteinte des objectifs du projet. Cette célébration a pour objectif de primer et d’encourager les écoles et centres d’apprentissages qui appliquent les méthodes alternatives et d’amener les autres à leur emboîter le pas. Dans la foulée de cette célébration, plusieurs allocutions ont été prononcées et les prestations folkloriques appelant à la non-violence en milieu scolaire et dans les ateliers de formation ont permis de véhiculer le message. Par la même occasion, des jeunes élèves du Lyceé Bamabodolo ont, à travers un sketch, invité leurs parents à éviter des comportements malsains qui compromettent la jouissance des droits à l’éducation et à la formation dans un environnement sain. Les Trois meilleurs établissements et trois meilleurs ateliers d’apprentissage appliquant les méthodes alternatives ont été primés. M. TCHADOUA Zarifou, Directeur du CEG Kolowaré « Je suis très satisfait de cette célébration. En effet depuis l’élaboration des codes de discipline positive avec l’appui de l’ONG PAFED au CEG Kolowaré, nous avons remarqué un changement positif au sein de notre établissement. D’abord il y naissance d’une confiance entre les enseignants et les élèves. Ce ci a permis d’avoir de bons résultats au BEPC les trois dernières années. Je convie mes collègues enseignants et patrons d’ateliers qui appliquent encore les méthodes violentes à proscrire ces méthodes et d’adopter les méthodes alternatives à la violence »

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